Le mercredi matin, juste en bas de chez moi, il y a un marché paysan. J’y achète fruits, des légumes, du fromage, des oeufs… et surtout des fleurs ! Il n’y a qu’un seul marchand de fleurs qui ne vend que des petits bouquets de saison. Toujours un peu pareils, mais jamais tout à fait les mêmes. 

Il y a un peu plus de 3 ans, j’ai photographié mon bouquet du mercredi puis je l’ai posté sur mon compte Instagram. La semaine d’après aussi. Puis la suivante aussi…

J’ai même fini par créer un hashtag #lebouquetdumercredi pour les retrouver plus facilement :

Maintenant, c’est devenu un rendez-vous…
D’abord avec le fleuriste qui m’en garde toujours un de côté (ça part vite !). Puis avec moi-même, parce que je m’amuse à varier les photos et les compositions, un exercice pas aussi facile qu’il n’en a l’air. 
Mais aussi avec vous, qui me suivez sur Instagram et qui, lorsque je n’ai pas publié la photo de mon bouquet,  m’envoyez parfois un message pour me demander le jeudi si je n’ai pas oublié d’aller au marché hier ! 

Je vous invite à utiliser vous aussi ce hashtag #lebouquetdumercredi pour partager vos jolis bouquets, c’est une façon de les faire durer plus longtemps !

J’avoue que certaines techniques autour du papier m’attiraient plus que d’autres. Grâce à La Bible du Papier, j’ai dépassé mes préjugés, et j’ai découvert le papier mâché. Voici ma colombe de la paix !

Les instructions sont ici :

Cette création est une des 100 créations de mon livre La Bible du Papier, édité chez Hachette (336 pages, photos de Sebanado.)

Si vous voulez l’acheter, allez en librairie de préférence !
Sinon vous pouvez aussi le trouver ici grâce au lien affilié ci-dessous, et le vilain Amazon sera bien obligé de m’en reverser une (toute petite) partie.

J’avoue que certaines techniques autour du papier m’attiraient plus que d’autres. Grâce à La Bible du Papier, j’ai dépassé mes préjugés, et j’ai découvert le papier mâché. Voici ma colombe de la paix !

Les instructions sont ici aujourd’hui seulement, demain il sera trop tard parce qu’il y aura une nouvelle case à ouvrir :

Cette création est une des 100 créations de mon livre La Bible du Papier, édité chez Hachette (336 pages, photos de Sebanado.)

Si vous voulez l’acheter, allez en librairie de préférence !
Sinon vous pouvez aussi le trouver ici grâce au lien affilié ci-dessous, et le vilain Amazon sera bien obligé de m’en reverser une (toute petite) partie.

Quelques chutes de papier de soie, du fil de fer… Ça peut donner un résultat plutôt étonnant…
Le secret de cette création, c’est le pistolet à colle. Quand je pense que je ai découvert cet outil miracle seulement en travaillant sur ce livre !

Les instructions sont ici :

Cette création est une des 100 créations de mon livre La Bible du Papier, édité chez Hachette (336 pages, photos de Sebanado.)

Si vous voulez l’acheter, allez en librairie de préférence !
Sinon vous pouvez aussi le trouver ici grâce au lien affilié ci-dessous, et le vilain Amazon sera bien obligé de m’en reverser une (toute petite) partie.

Quelques chutes de papier de soie, du fil de fer… Ça peut donner un résultat plutôt étonnant…
Le secret de cette création, c’est le pistolet à colle. Quand je pense que je ai découvert cet outil miracle seulement en travaillant sur ce livre !

Les instructions sont ici aujourd’hui seulement, demain il sera trop tard parce qu’il y aura une nouvelle case à ouvrir :

Cette création est une des 100 créations de mon livre La Bible du Papier, édité chez Hachette (336 pages, photos de Sebanado.)

Si vous voulez l’acheter, allez en librairie de préférence !
Sinon vous pouvez aussi le trouver ici grâce au lien affilié ci-dessous, et le vilain Amazon sera bien obligé de m’en reverser une (toute petite) partie.

Vous êtes prêt(e)s ? Le compte à rebours vers Noël a commencé !
La toute première case de mon calendrier de l’Avent 2018, c’est justement un calendrier de l’Avent ! Il s’agit des cubes que vous aviez peut-être vu ici.
Il peut être réalisé avec toutes sortes de papier. Ici, j’aime bien l’idée de mélanger les unis et les motifs. Vous verrez, c’est facile à faire ! Le plus difficile, c’est de trouver les 24 petits cadeaux à glisser à l’intérieur…

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Vous êtes prêt(e)s ? Le compte à rebours vers Noël a commencé !
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Il peut être réalisé avec toutes sortes de papier. Ici, j’aime bien l’idée de mélanger les unis et les motifs. Vous verrez, c’est facile à faire ! Le plus difficile, c’est de trouver les 24 petits cadeaux à glisser à l’intérieur…

Les instructions sont ici aujourd’hui seulement, demain il sera trop tard parce qu’il y aura une nouvelle case à ouvrir :

Cette création est une des 100 créations de mon livre La Bible du Papier, édité chez Hachette (336 pages, photos de Sebanado.)

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Mon atelier est dans le magazine Flow qui vient de sortir !
Le reportage a été fait juste avant l’été. Et je le découvre maintenant, à l’heure des grands changements…

Beaucoup l’ont remarqué sur Instagram, j’étais de moins en moins à l’atelier et de plus en plus sous le soleil de Marseille.

Vous saisissez la différence ? Et vous me voyez venir ?
Oui, j’ai déménagé à Marseille !

Je m’installe dans ma nouvelle vie, nouvelle ville. C’est un peu vertigineux tout ce que ça suppose. Alors, il a fallu faire des choix…
Et le premier choix a été de mettre la boutique en pause.
Ce n’est pas une mauvaise nouvelle, au contraire, ça veut dire que vous allez me lire plus souvent ici. Parce que j’ai plein de choses à vous montrer !

Alors, à très vite ?

“Voilà plus de deux ans que je veux raconter cette histoire. Alors je vais tenter de le faire ici cette semaine.”
“Quand j’ai loué mon appartement, la bonne surprise c’est qu’il y avait une cave, mais le propriétaire ne savait pas ce qu’il y avait dedans.”
“C’était la cave n°16. Il n’avait plus la clé non plus. J’ai scié le cadenas.”
“La cave était pleine d’affaires. Celles de la vieille dame décédée après 20 ans dans cet appartement.”
“Dans la boîte aux lettres, une publicité pour une mutuelle m’apprend qu’elle s’appelait Madeleine.”
“Elle n’a pas de descendant, alors je téléphone à l’unique lien de cette femme, selon le propriétaire : son filleul.”
“Au téléphone il me dit qu’il avait mandaté une entreprise pour vider l’appartement, elle a semble-t-il oublié la cave.”
“Les affaires de sa marraine ne l’intéressent pas, il me dit d’en faire ce que je veux.”
“J’ai donc une cave pleine des affaires de Madeleine. Dont personne ne veut. Je vais m’y plonger pour tenter d’en savoir un peu plus sur elle.”

C’est par ces phrases (des tweets en fait…) qu’en novembre dernier commence le Madeleine project de Clara Beaudoux.
Au fil des ouvertures de boites et valises, en même temps que Clara, on fait connaissance avec Madeleine qui serait aujourd’hui centenaire. On découvre son visage, son métier, son amour, ses collections, ses petits riens qu’elle a conservé et qui sont autant d’indices dans ce qui ressemble à une enquête…
C’était la saison 1 (oui, c’est aussi addictif qu’une série !).
Dans la saison 2 qui a commencé la semaine dernière, Clara Beaudoux est allée à la rencontre des gens qui l’ont connue : ses anciens voisins, les gens de son quartier. L’enquête continue et petit à petit c’est Madeleine revient à la vie…

L’histoire de cette rencontre entre ces 2 femmes qui ont vécu dans le même appartement, Madeleine qui serait aujourd’hui centenaire et Clara 31 ans, deviendra bientôt un livre. Et comme un clin d’oeil à la façon dont tout a commencé, il sera édité par les Editions du Sous Sol. Il parait que c’est le hasard…

La photo du billet ne provient pas du Madeleine Project… Il s’agit de mon grand-père Jacques et de ma grand-mère que j’appelais Chichou. Son nom de jeune fille était Mandirac. Je vous l’avais présentée ici.

Si vous me suivez sur Instagram, vous avez forcément remarqué que je passe de plus en plus de temps à Marseille…
Delphine de la revue “7h09” l’a remarqué aussi et m’a demandé de partager mes bonnes adresses.

J’en ai sûrement oublié plein, et j’en ai encore beaucoup à découvrir. Il y a un peu de tout (je me rend compte qu’il y est quand même beaucoup question de nourriture !), c’est un peu en vrac, mais finalement, ça ressemble à “mon” Marseille. Je vous invite à le découvrir ici.

À votre tour, n’hésitez pas à partager vos bonnes adresses, ça me fera plaisir !

Photos Fifi Mandirac.